Les vampires sont certes moins à la mode que les zombies, mais c’est une « espèce » qui n’en reste pas moins fascinante. D’où l’intérêt (?) de construire un agent-based model pour étudier les interactions entre une population de vampires et une population d’humains comme l’a fait l’économiste Dan Farhat dans un récent working paper. Le papier a moins l’intérêt de montrer les apports mais aussi les limites des modèles à agents multiples.
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